À propos de l’auteur
Frédéric Baldan
Frédéric est ancien lobbyiste européen, spécialiste des affaires entre la Chine et l’UE, premier plaignant dans l’affaire pénale contre Ursula von der Leyen, activiste des droits fondamentaux et auteur.
L’affaire judiciaire dont il est à l’origine a été couverte par plus de 150 médias dans plus de 30 pays et a attiré presque 3000 autres victimes venant de toute l’Europe — constituées ou non partie civile — dont des États membres de l’Union, des partis, des navigants ou encore des parents ayant perdu leur enfant en raison d’effets secondaires graves. Son action est reconnue comme historique et sans précédent dans l’UE.
Originaire de Huy, une ville située dans la province de Liège en Belgique
Frédéric est formé aux réseaux et télécommunication par le géant américain Cisco lorsqu’il est adolescent. Il entame ensuite le parcours d’ingénieur civil (polytechnicien) de la faculté des sciences appliquées de l’Université de Liège. Marqué par un avocat qui viendra en aide à ses parents, il décide de suivre des cours de droit en élève libre au sein de la même université.
Ceci l’amène à s’intéresser aux ventes de biens immobiliers publics à des prix symboliques dans sa ville natale. Ces ventes lui apparaissent comme des actes de mauvaise gestion ayant pour conséquence la lésion à l’intérêt général. Avec d’autres habitants, notamment un ancien commissaire de la police fédérale, il décide de s’opposer aux politiques locaux et promoteurs.
En 2010, alors qu’elle est massivement endettée, la Ville de Huy vend son immeuble public sur le site dit du « Quadrilatère » ; celui-ci représente plusieurs milliers de mètres carrés en centre-ville. De manière très surprenante, alors que l’autorité locale valorisait cet actif immobilier à 1,2 million d’euros dans sa comptabilité, les politiques locaux décident ensuite de le vendre pour 100 euros symboliques à la société immobilière d’une famille de politiciens originaires du nord du pays. La décision de vendre à vil prix est motivée par une prétendue urgence qui découlerait d’un soudain mauvais état du bâtiment.
Curieusement, dans les comptes de cette société immobilière qui est au départ une coquille vide sans aucune expérience dans le secteur de la construction, on découvre que cet immeuble de 100 euros fait ensuite l’objet d’une réévaluation à hauteur d’environ 1 million d’euros. Preuve que le patrimoine collectif a bien été privatisé sans contrepartie, et cela, au préjudice de tous les habitants. Cette opération permet ainsi à la société de disposer d’ une structure financière suffisante pour attirer des investisseurs et réaliser alors un projet immobilier évalué dans la presse à 20 millions d’euros. Une bonne affaire ayant permis à ces acquéreurs flamands de s’enrichir personnellement tout en tirant parti de cette acquisition pour s’inviter dans la politique de la ville. Cette vente fait toutefois l’objet d’une instruction judiciaire diligentée par le juge Liégeois Philippe Richard ; de nombreuses perquisitions ont été menées et un dossier est toujours à l’instruction aujourd’hui pour suspicion de corruption.
L’apprentissage des modes opératoires de la criminalité en col blanc
Frédéric a progressivement développé une maîtrise du droit — tant administratif que pénal — grâce à une pratique régulière de ces expériences locales enrichissantes. Il a également appris à comprendre les habitudes et modes de fonctionnement de l’administration, de la presse et de la justice. Ce vécu singulier est à l’origine de sa désillusion à l’égard du caractère démocratique de notre société, de l’indépendance des pouvoirs et contre-pouvoirs, de la recherche de l’intérêt général par les dirigeants publics, et surtout au sujet de la dichotomie des pseudo-oppositions entre familles politiques de gauche et de droite — une forme de théâtre permanent —.
Son action en faveur de la lutte contre la corruption lui permet de rencontrer d’autres activistes de la transparence et ONG agissantes dans ce domaine, notamment Cumuleo et Transparencia. Il devient alors un activiste des droits fondamentaux, en particulier de la transparence administrative. Il acquiert ainsi la connaissance des principes qui encadrent les atteintes aux droits fondamentaux : la légitimité, la nécessité, et la stricte proportionnalité ; de même que les prescrits du Code pénal belge qui portent sur les infractions imputables à des fonctionnaires et dépositaires de l’autorité publique. C’est ce qui lui permettra plus tard de mettre en cause Ursula von der Leyen, une fonctionnaire occupant le poste de présidente de la Commission européenne.
Ce cheminement atypique lui a permis d’acquérir une expertise en matière de criminalité financière. Il a découvert des méthodes peu connues, telles que la « chaîne à crémaillère », qui consiste à diviser une opération globale en une série d’étapes discrètes et irréversibles. Il a également appris à identifier les recours abusifs à la notion d’urgence, celle utilisée par les décideurs politiques pour s’exonérer du respect des cadres légaux et des principes de bonne administration.
L’arrivée dans le monde du lobbying européen
En parallèle et un peu par hasard, Frédéric devient lobbyiste européen à Bruxelles s’éloignant ainsi des affaires de sa ville natale. Il se marie et déménage à la campagne dans un village à proximité de la Ville de Hannut.
Son travail de lobbyiste consiste à aider des porteurs d’intérêts de petite taille à faire valoir leurs droits et faire cesser les abus de droit. Il s’attaque aux monopoles et permet à des victimes de la criminalité politico-économique de construire leur défense ou de contre-attaquer. Il développe une expertise dans les domaines de l’intelligence économique et politique. Il se spécialise dans les relations sino-européennes ; un profil de lobbyiste non conforme à la norme de l’industrie.
En novembre 2019, Frédéric accompagne en Chine le secrétaire d’État à la Région de Bruxelles-Capitale, chargée des Relations européennes et internationales, du Commerce extérieur, et se joint ensuite à la délégation qui accompagne la Princesse Astrid de Belgique en visite dans ce même pays.
Les bases du crédit social non pas chinois mais dans l’UE
Après avoir créé un effet de sidération en imposant des privations de libertés et des incarcérations à domicile arbitraires — les « confinements » — , le 17 mars 2021, Euronews annonce qu’Ursula von der Leyen présente un projet de réglementation, le Certificat de vaccination de l’UE. La double expérience de la Chine et des institutions européennes permet à Frédéric de comprendre rapidement qu’il s’agit de la mise en place d’une copie du crédit social chinois mais cette fois-ci au sein de l’UE.
La vie des habitants est alors conditionnée par le « EU Digital Covid Certificate », un dispositif appelé « Covid Safe Ticket » (CST) en Belgique. Nombreux sont ceux qui n’ont alors pas les moyens financiers ou intellectuels leur permettant de se défendre face aux autorités. La population se mobilise et des collectifs se créent, à l’instar de Notre Bon Droit qui mènera la bataille devant les tribunaux et obtiendra finalement de la justice belge qu’elle condamne le CST.
À cette époque, les enfants font l’objet d’un ciblage et son pris en tenaille par les autorités publiques et les industriels. Il est alors dit que ceux-ci doivent recevoir une injection afin de protéger les autres, « Une injection altruiste ». Comme vous le découvrirez en lisant le livre, il s’agit d’un odieux mensonge de la part des institutions. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles les contrats d’achat comme ceux du produit de Pfizer ont été tenus secrets. Des contrats d’achat dont un a été négocié en secret et par SMS directement entre Albert Bourla, PDG de Pfizer, et Ursula von der Leyen.
Fait curieux, la Commission européenne a pourtant mis en place différents comités d’experts et de négociation afin que Pfizer ne puisse pas corrompre les membres de la Commission. Ursula von der Leyen a cependant contourné ce mécanisme mis en place par sa propre Commission, mais dans quel but ? Aujourd’hui encore, elle refuse de fournir la copie de ses SMS qui sont pourtant des documents publics relatifs à une négociation.
L’installation progressive d’une dérive autoritaire
Peu après son retour en Belgique, les mesures de restriction de liberté sont mises en place. L’accès aux institutions devient alors interdit pour raison « sanitaire » ce qui conduit Frédéric à passer du temps dans sa nouvelle localité à défaut de pouvoir prouver le caractère arbitraire des décisions publiques. Son enfant vient au monde au début de l’année 2020 ce qui a pour effet de le couper du monde des institutions.
Durant cette période d’hystérie sanitaire, sur instruction du politique, l’autorité judiciaire prend des citoyens et des commerçants innocents pour cible au lieu de poursuivre la véritable criminalité. La justice s’exécute en faisant fi de l’état de droit et de la séparation des pouvoirs. Dans la presse, les mesures de restriction de liberté sont alors présentées comme légitimes et proportionnées alors qu’elles semblent pourtant arbitraires.
Au lieu de faire place à un débat nécessaire à l’intelligence collective et à la manifestation de la vérité, la plupart des médias font le jeu des lobbys et dénigrent toute forme de contestation du narratif. Des personnages marginaux et excentriques sont mis en évidence comme si leur comportement était représentatif de la majorité, ce qui a pour effet de discréditer la masse des réfractaires à la violation des droits humains. Les personnes modérées ne trouvent aucun support pour faire porter leur voix. Bref, ce sont les ressorts classiques de la propagande et du lobbying — pas ceux du journalisme.
Pour l’essentiel, les politiques et les médias répètent en boucle que ces mesures liberticides sont basées sur la science : mais quelle science ? Celle de la manipulation des foules du Gustave Le Bon et d’Edward Bernays ? Plongés dans une forme d’hypnose ou encore d’hystérie collective, ils pensent détenir une vérité scientifique et parviennent à se convaincre qu’ils agissent malgré nous, mais pour notre bien. Personne n’y prête attention à l’époque, mais ce discours est une propagande liée à la campagne de lobbying « #Sciencewillwin » ; celle imaginée par un célèbre cabinet responsable du déclenchement de la Guerre du Golfe. Des lobbyistes sans scrupule venu nous « vendre une guerre », mais au virus cette fois. À force de toujours se faire manipuler par les mêmes cabinets, la presse devrait faire son examen de conscience.
Concernant la Justice belge, il s’agit d’une page sombre de son histoire. Un symbole qui restera sera celui de cette photo de la police belge assurant la protection du bâtiment vide de Pfizer à Bruxelles face à des manifestants pacifiques. La Police protégeant ainsi une entreprise multi-condamnée au lieu des citoyens dont les droits fondamentaux étaient violés. De quoi se poser des questions sur le véritable dévoiement de l’engagement demandé à ces policiers : « protéger et servir », mais qui ?
Les plus vulnérables ont-ils été protégés des lobbys ? Où était la conscience du monde politique et de la presse ? Le suicide de la jeune liégeoise Alyson Jadin en août 2020 apporte une réponse définitive à ces questions. Elle était l’une de ces personnes que les pouvoirs publics jugeaient « non-essentielle » et dont les droits fondamentaux ont été violés. N’en déplaise au monde politique qui souhaiterait se maintenir dans son irresponsabilité, pour un grand nombre d’entre nous, s’agissant de traduire la réalité de cette époque que nous gardons en mémoire, la jeune Alyson Jadin restera à jamais essentielle !
La pénétration du milieu des lobbys pharma et de la data
Invité par hasard à participer au « European Health Summit », Frédéric décidera d’assister à l’événement pour constater par lui-même quels étaient les lobbys actifs à l’occasion de la crise sanitaire. Cette activité qui à première vue semble sans importance permet à Frédéric de comprendre ce qu’il est advenu de nos données pendant la crise et ce qu’ont fait les lobbys pour profiter de la crise. De quoi alimenter son ouvrage.
Témoignage des femmes navigantes, le déclencheur de l’offensive
À nouveau autorisé à accéder au Parlement européen en raison de la levée des restrictions, au détour d’un des couloirs du bâtiment bruxellois, Frédéric découvre l’affiche d’une conférence portant sur la sécurité aérienne. Puisqu’il s’agit d’une des thématiques qu’il doit suivre comme lobbyiste, il décide de se rendre à Strasbourg et d’y assister. Il y écoute des hôtesses et pilotes témoigner de leurs effets secondaires et de la destruction de leurs vies par les mesures politiques. Ces navigantes tirent alors la sonnette d’alarme pour préserver la sécurité aérienne. Les navigants ont effectivement été financièrement et socialement contraints à l’injection par le « EU Digital Covid Certificate » d’Ursula von der Leyen. Sa présence à cette conférence amène Frédéric à rencontrer sa future avocate, Diane Protat.
Le témoignage bouleversant de Leaticia — une hôtesse de l’air — pousse Frédéric à assister à une audition organisée par la Commission spéciale COVI au Parlement européen.
L’audition ayant mené à l’effondrement du narratif « #Sciencewillwin »
Vient alors Janine Small, la représentante de Pfizer venue remplacer son CEO Albert Bourla qui refuse de se présenter pour répondre aux questions des députés. Lors de son audition, Janine Small apporte la preuve que le « EU Digital Covid Certificate » et les atteintes aux droits et libertés qui y sont associées n’ont jamais été légitimes, proportionnées ou encore strictement nécessaires. Disposant enfin de la preuve du caractère arbitraire des décisions politiques, Frédéric comprend alors qu’il y a donc bien eu des infractions pénales imputables à des fonctionnaires et représentants de l’autorité publique.
La suite ?
Cette audition pousse Frédéric à saisir le Collège des procureurs généraux en Belgique. Ces derniers ayant tacitement refusé d’agir, Frédéric dépose alors une plainte avec constitution de partie civile dans les mains du juge d’instruction liégeois Frédéric Frenay en avril 2023. Assisté par l’avocate française Diane PROTAT, la plainte qu’il dépose vise Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne pour corruption, prise illégale d’intérêt, destruction de documents administratifs, et usurpation de titres et fonctions. Une plainte sans précédent dans l’histoire de l’UE qui vaudra à Frédéric Baldan d’être radié en tant que lobbyiste européen.
En professionnel de l’industrie du lobbying et habitué des institutions européennes, Frédéric découvre de nombreux éléments troublants à charge d’Ursula von der Leyen. Il décide d’en faire un livre intitulé « UrsulaGates : la compromission par les lobbys » pour que le public accède enfin à l’information. Le monde du lobbying bruxellois vu de l’intérieur.
Un ouvrage unique en son genre que nous vous proposons de découvrir.
Publié le 05 novembre 2024
Par Éditions Droits et Libertés
À propos du livre
UrsulaGates :
la compromission par les lobbys
- Disponible en version ebook et papier.
- Échantillons gratuits en 10 langues.
- Un ouvrage sans équivalent.